L’artiste-peintre Alëxone Dizac signe cinq couvertures exclusives pour La Compagnie du Kraft.
Reconnu sur la scène mondial du graffiti, il s’illustre particulièrement par son art figuratif et son bestiaire de personnages loufoques. En totale confiance,
La manufacture de carnets la plus improductive du monde occidental, lui a donné carte blanche. Autant vous dire que tout y est : pingouins, clébards et autres tigres se retrouvent embossés sur le cuir de trois iKone et d’un carnet Medium Deville. Alëxone nous gratifie d’une fresque toute en couleurs pour une couverture en kraft renforcé sur un modèle Medium.
Par cette rencontre, L \ C \ K réinvente le métier de typographe en associant son savoir-faire à un talent de son époque. Une manière de donner une dimension artistique à ses carnets indestructibles et rechargeables. Des produits uniques, réalisés avec bienveillance et sincérité. On espère que le résultat vous surprendra.
Mais qui est Alëxone ?
Issu d’abord du graffiti sous son pseudonyme Oedipe, il travaille durant de nombreuses années la calligraphie avant de s’intéresser à la peinture… Après cette première période consacrée à l’écrit, il se tourne vers le figuratif. Il peint en particulier des animaux. Son univers est composé entre autres d’éléphants masqués, de pingouins, mais aussi de bandits au long nez retroussé. Après plusieurs années passées à Bruxelles, Alëxone devient Alëxone Dizac.
C’est le temps de la maturité artistique. Il est reconnu aujourd’hui sur la scène du street art mondiale. Certains le considèrent comme un des artistes les plus importants de sa génération. Outre la force de ses tableaux, sa maîtrise incroyable des couleurs le distingue immédiatement. Les institutions le saluent avec entre autres une exposition au Centre Pompidou en 2008 (avec le collectif 9eme Concept). La Fondation Cartier pour l’Art Contemporain lui réserve une place de choix à l’occasion de la rétrospective «Né dans la rue», en 2009. Il intègre la Galerie Le Feuvre en 2011, et réalise une importante exposition personnelle en novembre 2012, intitulée «Alacrité ».